Le squelette d’un garçon de huit ans disparu il y a plus de vingt ans est retrouvé. Brooks et Devlin vont pousser la seule témoin potentielle à suivre une sorte de thérapie pour l’aider à se souvenir. Cela mènera Steel à monter son dossier.
Par où commencer cette semaine avec cet épisode qui ne m’a guère captivé. Certes, Brooks et Devlin sont toujours aussi efficaces et fournissent de quoi s’intéresser un peu à l’histoire, mais j’avoue qu’une fois que l’on se lance dans l’espèce de thérapie hypnotique qui n’en est pas une, j’ai plus ou moins lâché l’affaire, même si, pour une fois, je n’avais pas de souvenirs vivaces de l’épisode original.
Bref, on retrouve Nimmy March dans le rôle du Dr. Elizabeth Rawls qui semble donc se confirmer en “Elizabeth Olivet” made in UK, bien que les deux personnages n’ont pas réellement de points communs au niveau de leurs personnalités.
Mais passons. Nous avons Colin Salmon qui vient jouer l’avocat de la défense. Il est malheureusement trop en retrait, car une fois de plus, le procès est un peu bâclé. Aurons-nous le droit, à un moment ou un autre, à une véritable plaidoirie. Il semble que Steel ne possède pas la passion d’un McCoy, voire même d’un Stone ou d’un Cutter, pendant qu’on y est. Et c’est bien dommage, mais on ne peut pas lui mettre tout sur le dos, car les scènes durant le procès ne tiennent pas franchement la route. N’y connaissant rien au système pénal britannique, je ne pourrais que supposer qu’il y a là un fossé trop large à combler entre les deux versions et que le style L&O n’est pas réellement adaptable, de ce point de vu, à l’Angleterre. J’espère me tromper, car c’est un véritable handicape pour la série.
Donc, pour finir, je ne vais pas en rajouter une couche. L’épisode n’est pas passionnant, et ce, malgré une histoire émotionnellement chargée.
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