The creator of a dating app is accused of using it to rape women. Velasco's experience as an SVU detective is put on trial. Le créateur d'une application de rencontre est accusé de viol. Velasco témoigne pour la première fois dans un procès comme membre de l'USV.
Un épisode classique et efficace. Le fait que la majorité des scène se passe au tribunal n'a pas été pour me déplaire.
Intrigant que depuis quelques épisodes la distribution principale ne soit jamais complète (après Fin et Velasco en quarantaine, c'est cette fois Rollins qui est absente et qui doit s'occuper de sa mère).
Velasco asks Benson for help finding three girls who were trafficked from his hometown to New York City. Velasco demande l'aide de Benson pour retrouver trois jeunes filles de son village natal, victimes de trafficant·es d'êtres humains à New York.
L'épisode évite l'écueil de faire de Velasco un héros solitaire et montre assez vite que les trafficant·es d'êtres humains existent grâce à la corruption de certain·es officiel·les. Malheureusement, la série a se contente de pointer la responsabilité individuelle d'un seul policier.
Un peu étrange de voir la série dépeuplée et fonctionner une nouvelle fois avec seulement trois personnages principaux.
Rollins and Fin investigate an assault in Kentucky that has striking similarities to victim found in Central Park. Rollins et Finn enquête sur un viol dans le Kentucky qui présente de grandes similitudes avec un autre dont la victime a été retrouvé à Central Park.
Très chouette épisode qui montre la différence d'intérêt médiatique et sociétal qui existe entre des crimes récurrents qui pour les uns rentrent potentiellement dans le cadre d'une narration spectaculaire (des viols perpétrés par un serial rapist) et pour les autres sont ignorés parce de l'ordre de l'intime (des viols dans le cadre familial).
Garland asks Benson to reopen a missing persons case he worked as a rookie officer. A victim in one of Carisi's recent cases is arrested. Garlan demande à Benson de ré-ouvrir une affaire de personne disparue d'il y a 20 ans. La victime dans une affaire récente traîtée par Carisi est arrêtée.
À mon sens, la deuxième intrigue aurait mérité qu'un épisode lui soit entièrement consacrée (ce thème de l'utilisation de l'ADN par la police de victimes de viol est glaçant et passionnant).
Je n'ai pas de plus bien compris l'intérêt de mettre les deux histoires en parallèle. Elles n'ont qu'un lien très tenu entre elles, le système policier n'a pas été à la hauteur des situations... Et encore... Ce n'est pas la même chose de mettre de côté le 11 septembre 2001 une affaire de fugue et choisir d'utiliser l'ADN d'une victime pour élucider une affaire de vol.
When a student's school reports a girl missing, the squad must track down a trusted family friend for answers. Suite à une alerte concernant la disparition d'une adolescente, l'équipe se met à la recherche d'un ami de confiance de sa famille.
Dans cette histoire sur un "prédateur" charismatique, l'épisode prend la décision de le mettre de côté et de ne s'intéresser qu'à ses victimes. Un traitement plutôt inhabituel avec ce type de personnage qui rend l'épisode particulièrement réussi.
When the only evidence in a crime is a church confession, Carisi must find another way to prove his suspect guilty. Benson agrees to meet with an old friend seeking to make amends for past transgressions. Avec comme seule preuve une confession faite à un prêtre, Carisi doit trouver un autre moyen pour faire condamner un suspect. Benson accepter de rencontrer un ancien ami décidé à reconnaître ses torts dans des affaires d'agressions sexuelles.
Pas complètement convaincu par le parallèle entre les deux situations. L'intrigue avec Carisi fait écho à la bonne époque des dilemmes des premières saisons de Law & Order. La résolution un peu trop facile empêche à mon sens d'explorer les problèmes soulevées par l'intrigue. L'autre intrigue avec Aidan Quinn m'a semblé sans intérêt.
The SVU provides help and protection for a longtime domestic violence victim, but when she winds up at the defendant's table in court, Rollins surprises Carisi with a formidable opponent at trial. L'équipe aide et soutient une victime de violences domestiques avant qu'elle ne soit sur le banc des accusés au tribunal. Rollins met Carisi face à un terrible adversaire lors du procès.
Pour son dernier épisode, et alors que les relations personnelles sont inhabituellement mises en avant, Leight parvient à concevoir l'un des personnages de victimes le plus abouti de la saison et à pointer toute la difficulté d'envisager pour quelqu'un·e d'extérieur ce qu'est une situation de violences domestiques sur le long terme. Les arguments de Carisi reprennent tout le discours habituel sur la responsabilité individuelle des victimes d'agir avec bon sens (si c'est plutôt intéressant, c'est peut-être la partie la plus faible de l'épisode, j'ai plutôt été gêné de voir ce personnage être aussi dur avec une victime même si c'est elle qui est accusée d'un homicide - j'ai pensé qu'il s'agissait d'une stratégie volontaire de Carisi pour la rendre sympathique auprès du jury mais apparemment pas au vu de la conclusion) et il faut tout le duo Benson-Barba pour le contrer.
Si j'étais ravi de revoir Barba, je reste un peu perplexe sur les sentiments qu'il semble éprouver pour Benson. Ce qui m'a toujours plu dans leur duo, c'est l'absence d'ambiguïté dans leur relation d'amitié. Mais leur conversation finale permet de montrer que la série se rend compte que ce qu'éprouve Benson pour Stabler est un poil toxique pour elle...
Ravi que le second "run" de Leight se conclut sur un épisode aussi réussi (malgré les quelques - minuscules - réserves que j'ai )